mercredi 22 octobre 2008

Multiples occupations

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Je suis débordée par... l'écriture :


  • Memorabilia, mon superbe blog (bon, il est un peu commun, mais tant pis)
  • le journal mensuel de mon CE (alors ça, je trouve que c'est très réussi !)
  • les commentaires sur mes blogs préférés (toujours à propos, intelligents et de bon goût !)
  • les e-mails intelligents avec mes collègues préférées (mais où sont les hommes ?)
et
  • LE petit cahier !
Petit Cahier est né il y a peu de temps. Né et adopté le 18 septembre dernier, il a 2 familles d'accueil : moi et 2 amies d'un autre service fort éloigné du mien. Garde alternée : une semaine chez l'une, une semaine chez les autres. Il est chez moi cette semaine.

Petit Cahier est très sage et transmet les divers messages de la semaine d'un bout du campus à l'autre, fidèlement.

Vive Petit Cahier ! qui recueille les frustrations, quelques colères, mais surtout de profondes pensées existentielles telles que : pourquoi le nez ne grossit-il pas quand on prend du poids ?


Il est si jeune et déjà indispensable.

Bref, toutes ces écritures parallèles et simultanées me demandent une attention de chaque instant et, déjà passablement obsédée par tout ce que je vois et j'entends, maintenant je ne note plus les choses simplement pour moi, mais aussi pour le journal du CE (tiens, ça ferait un article intéressant), pour Memorabilia (il faut absolument que je partage ça - ou - je ne peux pas laisser passer ce que je viens d'entendre sans en parler), et il faut aussi que j'alimente Petit Cahier Chéri, tout ça sans laisser tomber le petit cercle d'émaileuses effrénées...


Eh bien, j'adore cette dispersion !

...il paraît que MES accumulations sont là pour remplir le vide de MA VIE !

Ah bon ? Pas grave, j'aime !
(en ce moment, j'ai beaucoup de chance, j'aime beaucoup de choses, et de gens, et certains qui ne le savent même pas !).

autre chose - jeu des différences
Quelle différence entre ces 2 photos de James Taylor ?



















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Discover James Taylor!






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3 commentaires:

Anonyme a dit…

Au jeu des différences la réponse est "la guitare". Qu'est ce que j'ai gagné ? ça a intérêt à être un lot d'une valeur inestimable parce que sinon je raconte à tout le monde que... euh... oh, ben, je vais bien trouver.
Et le truc de remplir le vide de sa vie avec des accumulations,c'est archi-faux. Etant moi-même une personne dite dispersée j'atteste sur l'honneur que, ma foi, je me trouverais bien aise de ne pas l'être. C'est TRES fatiguant, la dispersion. On aimerait consacrer cette énergie à d'autres activités, disons, plus utiles ou rentables. Un break de temps à autre serait le bienvenu. A qui doit-on adresser le formulaire en 3 exemplaires ??

L'autre Dispersée de l'Open Space, ta voisine de bureau depuis 8 ans (oui, j'ai calculé, ça nous rajeunit pas)

claire a dit…

Certes, la guitare est une réponse acceptable et acceptée, mais la GRANDE différence entre les 2 photos, c'est... presque 40 ans !!
Ah, ma brave dame, ça nous rajeunit pas tout ça !!
Je réfléchis au lot (tu es la seule à avoir participé - décidément, mon audience est assez faible) : macarons au chocolat ?(non, après ceux que tu m'as fait goûter, c pas possible)- une guitare ? - un CD de James Taylor ?...
Ah, je sais : mon amitié indéfectible et mes encouragements indéniables (premier adjectif me venant à l'esprit !) - ça au moins, ça a une valeur qui ne se déprécie pas en cas de crise économique...
cl.

Anonyme a dit…

Va pour l'amitié et les encouragements, je prends le lot. En tout cas pas la guitare, j’explique ma réticence : à chaque fois que j’élève le ton dans la chambre de ma fille aînée, la guitare posée dans le coin joue toute seule... c'est un phénomène physique qui s'explique aisément par le fait que lorsque je me fâche, j'accompagne mes hurlements par un élégant martelage du sol de mon charmant petit pied (le ridicule ne tue pas) ce qui fait vibrer le plancher, donc la guitare, CQFD. La première fois, c'est impressionnant, ça m'a stoppé net mais je m’y suis habituée et maintenant j’ai l’impression d’être accompagnée de Georges Brassens à chaque pétage de plombs, ce qui, ma foi, flatte mon ego.