Avancement des travaux

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Voici donc mes progrès à ce jour. Les photos ne sont pas terribles (7h00 ce matin, mon appareil était sans doute encore ensommeillé), mais cela donne un idée.

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j'aime
broder toutes ces petites choses

j'aime pas
le temps qui passe trop vite
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Comment résister ? DITES-LE MOI !

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Finalement, non, je ne veux pas savoir comment résister à l'achat compulsif de livres !

Voici mes dernières emplettes... non prévues !



Mais, comme on dit : l'occasion fait le larron ! (ah ! le plaisir des lieux communs !)

Comment résister à l'appel de la superbe sélection de livres faite par Isabelle et Michel ? Ils étaient de passage sur mon lieu de travail pour une expo (merci le CE) et voilà : j'ai craqué.

Pile à Lire (PAL) et Liste à Lire (LAL) se remplissent à vue d'oeil !! Qu'importe !

Tout cela, c'était en début de semaine (lundi), mais hier, j'ai craqué pour

ON N'A JAMAIS ASSEZ DE LIVRES !
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Comment j'occupe mes soirées de décembre...

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Oserais-je avouer que quelques-unes de ces broderies furent commencées en janvier 2007 ?

Pour m'assurer qu'à Noël 2007, tous ces petits cadeaux seraient prêts... Et je n'ai même pas honte !!

Au fur et à mesure que je terminerai ces petites choses, je les exposerai ici-même.
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Assassin présumé et dictateur avéré

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Entendu hier à la radio, sur le chemin du retour vers la maison :

Khadafi n'est pas content : on parle moins de la Lybie du Colonnel que de l'alibi de Colonna !

Eh bien, moi, ça me fait rire !

Au fait, c'est Jacques Ramade, spécialiste des brèves et chanteur swing, qui a eu cette sortie.


j'aime

• les bons mots de Jacques Ramade

j'aime pas

• la visite en grande pompe Khadafi
• la vente d'armes à Khadafi...
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R&B à l'ancienne

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Et voici mon cadeau de Noël ! Pour une trentaine d'euros, le R&B d'Atlantic de 1947 à 1974 ! Un régal à écouter et très sympa à regarder, non ?

Quelques noms :

Otis Redding
Aretha Franklin
Roberta Flack
Wilson Pickett
Solomon Burke
...

j'aime
ce que l'on appelait R&B
la soul music

j'aime pas

ce que l'on appelle R&B actuellement en France, pour moi, c'est de la variété sirupeuse...

Distinguons l'homme de l'oeuvre... ou le contraire ?

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J'aime bien relayer les infos qui m'intéressent et je trouve toujours dans l'espresso de Télérama quelque chose à partager...

voilà une photo que j'aime bien !

L’année dernière, l’écrivain allemand Günter Grass, Prix Nobel de littérature 1999 et grande conscience de gauche, publie Pelures d’oignon. Dans cet ouvrage, qui vient d’être traduit en français, il avoue son passé nazi, engagé en novembre 1944 dans les Waffen SS, à l’âge de 17 ans, provoquant polémiques et effroi. S’il s’en est expliqué dans les journaux allemands, il n’a donné aucune interview en France. Paula Jacques est la seule à avoir obtenu ce long entretien, dont elle dit qu’« il a été un moment extraordinaire ». De sa voix grave et posée, il explique n’avoir « aucune circonstance atténuante. J’ai cédé à cette séduction des jeunesses hitlériennes, je courais avec les autres. Cinquante ans plus tard, j’ai regardé le jeune homme que j’étais et je me suis plongé dans cette auto-interrogation pénible et dérangeante ». Pourquoi maintenant ? D’autant que rien ne l’y obligeait. « Je ne suis pas responsable devant les journalistes, mais envers moi-même. J’ai toujours eu de la méfiance envers les récits autobiographiques et je pense qu’il faut un certain âge », répond-il avec le ton calme et lucide de ses 80 ans. « Le livre s’arrête en 1957, là où commence Le Tambour, souligne Paula Jacques. Il permet de mieux comprendre l’œuvre de cet écrivain prodigieux. » Pour elle, ce dernier ouvrage, inscrit à charge dans un mauvais procès, est « un acte pour se mettre en paix avec soi-même, une leçon de courage et d’éthique » ◆ V.B.
Podcast - Cosmopolitaine du 2 décembre - France Inter



j'aime

• qu'il soit revenu sur ces années de lui-même, sans contrainte de l'extérieur
• que cela fasse réfléchir sur ces très jeunes qui se sont engagés à l'époque dans les Waffen SS
  

j'aime pas

• qu'on le gratifie de nazi
• que l'on brûle les idoles que l'on a adorées
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Nous, les vivants

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Une photo sur l'espresso de télérama que je reçois quotidiennement a récemment attiré mon regard et j'ai aussitôt cliqué pour me retrouver sur le site et découvrir :

Nous, les vivants

Film suédois de Roy Andersson

Résumé
Ce film parle de l'Homme, de sa grandeur et sa misère, sa joie et sa tristesse, sa confiance en soi et son anxiété. Un Homme dont nous voulons rire et pleurer à la fois. C'est simplement une comédie tragique ou une tragédie comique à notre sujet.

Les quelques photos mises sur le site donnent envie d'aller voir le film, mais elles paraissent aussi être des oeuvres à part entière. Une atmosphère un peu bizarre s'en dégage et elles laissent entrevoir une histoire bien intéressante.

Je vous laisse en juger par vous-même...

j'aime pas

• les blockbusters sans âme
  

j'aime

• les superbes photos de "Nous les vivants" et ce qu'elles nous racontent (en dehors du film lui-même)
  
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Juste pour meubler

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Je n'ai pas le temps de poster. J'ai bien des choses en attente, mais je dois faire encore un peu de formatage, ajout de photos, etc. Les idées, ce n'est pas ce qui manque. Voici les titres des posts à venir (dans le désordre) :

• Nous, les vivants
  
• La langue des oiseaux
• Patience dans l'obscur
• Arts ménagers

Et un petit jeu pour occuper l'attente :

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j'aime
les petits jeux idiots
avoir plein d'idées

j'aime pas
ne pas trouver le temps d'en faire quelque chose
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