Je ne parlerai pas du film que j'ai vu sur Arte et qui ne présente, à mon avis, pas grand intérêt. C'est une suite de clichés, même pas sauvée pour les 2 acteurs que j'ai trouvés bons : Denis Podalydès et Jackie Berroyer...
Moi, je veux parler d'Adjani.
Je garde un souvenir impérissable de ses débuts : L'Ecole des Femmes et surtout Ondine, de Jean Gireaudoux, avec Jean-Luc Boutté, passé à la télé à l'époque. D'après mes recherches, c'était en 1972 et 1974 et c'était la Comédie Française.
Je passe sur des années de déception où j'ai fini par me désintéresser totalement de sa filmographie.
Puis arrive "La journée de la jupe" et ma curiosité se ravive...
Au début du film, j'ai cru qu'elle portait un masque. A la fin du film, j'avais compris que ce n'était pas un masque, mais sans doute une maladie des joues, les gonflant, les paralysant (toujours les joues) et rétrécissant la bouche. Je pense fortement à une maladie orpheline.
Bref, pour jouer masqué et faire passer les sentiments, il faut être très, très bon acteur. Et là, je n'ai pas cru un seul instant à ce personnage, alternativement sur- et sous-joué.
Zut, je vais finir par parler du film : je n'aime pas le titre, je n'aime pas la façon dont l'histoire est traitée, je n'aime pas...
J'ai lu ici une critique qui correspond bien à ce que je pense. J'aime bien la partie sur l'entrée des policiers qui évitent soigneusement la grille d'entrée de l'établissement...
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Moi, je veux parler d'Adjani.
Je garde un souvenir impérissable de ses débuts : L'Ecole des Femmes et surtout Ondine, de Jean Gireaudoux, avec Jean-Luc Boutté, passé à la télé à l'époque. D'après mes recherches, c'était en 1972 et 1974 et c'était la Comédie Française.
Je passe sur des années de déception où j'ai fini par me désintéresser totalement de sa filmographie.
Puis arrive "La journée de la jupe" et ma curiosité se ravive...
Au début du film, j'ai cru qu'elle portait un masque. A la fin du film, j'avais compris que ce n'était pas un masque, mais sans doute une maladie des joues, les gonflant, les paralysant (toujours les joues) et rétrécissant la bouche. Je pense fortement à une maladie orpheline.
Bref, pour jouer masqué et faire passer les sentiments, il faut être très, très bon acteur. Et là, je n'ai pas cru un seul instant à ce personnage, alternativement sur- et sous-joué.
Zut, je vais finir par parler du film : je n'aime pas le titre, je n'aime pas la façon dont l'histoire est traitée, je n'aime pas...
J'ai lu ici une critique qui correspond bien à ce que je pense. J'aime bien la partie sur l'entrée des policiers qui évitent soigneusement la grille d'entrée de l'établissement...
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